Tracing, testing & vaccination against COVID-19 https://www.corona-tracking.info/?lang=fr Sat, 17 Jul 2021 11:13:03 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.3.1 https://www.corona-tracking.info/wp-content/uploads/2021/02/cropped-Logo-32x32.png Tracing, testing & vaccination against COVID-19 https://www.corona-tracking.info/?lang=fr 32 32 Mesures suite aux inondations https://www.corona-tracking.info/mesures-suite-aux-inondations/?lang=fr Sat, 17 Jul 2021 07:55:36 +0000 https://www.corona-tracking.info/?p=10059 La vaccination n’a pas pu avoir lieu en raison des inondations

Une personne ayant sa résidence principale à Bruxelles, en Flandre ou en Communauté germanophone et pour laquelle la vaccination (première ou deuxième dose) n’a pas été possible en raison des inondations, peut annuler son rendez-vous initial avec son code de vaccination et prendre un nouveau rendez-vous sans devoir attendre une nouvelle invitation.  Certains centres de vaccination rappelleront la personne concernée.

Une personne ayant sa résidence principale en Wallonie et pour laquelle la vaccination (première ou deuxième dose) n’a pas été possible en raison des inondations, peut contacter le centre de contact au 0800/45.019 pour modifier la date et/ou le lieu de la vaccination. Plus d’informations sont disponibles sur JeMeVaccine.be.

Code de vaccination perdu

Toute personne ayant perdu son code de vaccination peut le retrouver via MyHealthViewer après authentification avec la carte d’identité électronique, Itsme ou le code Helena.

Si cela n’est pas possible, le centre de vaccination compétent peut être contacté par téléphone.

Test PCR gratuit

Une personne pour laquelle la deuxième vaccination n’a pas pu avoir lieu dans le délai normal en raison des inondations, conserve le droit à 2 tests PCR gratuits si la deuxième vaccination a lieu dans les 7 jours suivant le délai initial. Concrètement, une personne qui demande un test PCR gratuit avant le 25 juillet y a droit si

  1. la personne à tester a 6 ans ou plus et
  2. a sa résidence principale en Belgique, selon les données du Registre national et
  3. n’a pas encore reçu deux fois le corona test prescription code (CTPC) pour un test gratuit et
  4. est dans l’un des cas suivants au moment de demander un CTPC pour un test gratuit
    • la personne n’a pas encore été invitée à se faire vacciner
    • la personne a été invitée à se faire vacciner il y a moins de 35 jours
    • la personne a reçu la première des deux doses requises dans les 35 jours suivant l’invitation et se trouve moins de
      • 105 ou 77 jours après le première dose  AstraZeneca, selon que la première dose a été administrée avant le 25 mai ou à partir du 25 mai
      • 56 jours après le première dose Moderna
      • 56 ou 42 jours après le première dose Pfizer, selon que la première dose a été administrée avant le 13 juillet ou à partir du 13 juillet
    • la personne a reçu une dose de Johnson & Johnson dans les 35 jours suivant son invitation et se trouve moins de 14 jours après son injection.

Un CTPC pour un test PCR gratuit est valable 10 jours.

Le test obligatoire n’a pas pu avoir lieu en raison des inondations

Si une personne doit subir un test, mais que cela n’a pas été possible en raison des inondations, la personne concernée vérifie si le corona test prescription code (CTPC) obtenu a expiré ou non. Si le CTPC n’a pas encore expiré, la personne concernée peut annuler son rendez-vous initial et en prendre un nouveau. Si le CTPC a déjà expiré, un test n’est plus utile. L’annulation et la prise d’un nouveau rendez-vous est possible via MaSanté.

Si une personne a dû se soumettre à un test, mais démontre que cela n’a pas été possible en raison des inondations, la personne concernée ne sera pas condamnée à une amende par la police.

Code de test (CTPC) perdu

Toute personne ayant perdu son corona test prescription code (CTPC) peut le retrouver via MaSanté après authentification avec la carte d’identité électronique, Itsme ou le code Helena.

Si cela n’est pas possible pour les CTPC délivrés aux contacts à haut risque ou aux personnes arrivant en Belgique après un séjour en zone rouge, le centre de contact compétent peut être contacté par téléphone. Dans ces cas, les employés du centre de contact peuvent rechercher le CTPC dans l’application ‘Script & Forms’. Ils ne peuvent cependant pas rechercher le CTPC émis pour un test PCR gratuit.

Mesures à l’égard des personnes arrivant en Belgique après un séjour en zone rouge

Certaines informations sur les personnes arrivant en Belgique après un séjour en zone rouge, telles que la durée de la quarantaine et/ou le fait qu’il n’y ait pas d’indication que la personne concernée a été testée, sont transmises aux services de police pour contrôle. La police mène temporairement une politique de tolérance envers les personnes se trouvant dans les zones sinistrées par les inondations ou qui se trouvent dans une situation précaire en raison des inondations.

Fonctionnement des centres de contact

Les centres de contact tentent de joindre les personnes infectées (1A) et les contacts à haut risque de personnes infectées (2A) par téléphone pendant 48 heures. Si les personnes ne sont pas contactées par téléphone après ce délai, les appels téléphoniques sont suspendus et les informations nécessaires sont transmises aux agents de terrain pour tenter de joindre les personnes concernées via une visite. Pour les personnes prises en charge par les centres de contact de Wallonie et de la Communauté germanophone, le délai de 48 heures est temporairement prolongé à 72 heures.

En fonction de la situation liée aux inondations, les administrations sanitaires des entités fédérées prennent les mesures appropriées pour organiser les visites.

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Pourquoi est-il important de transmettre à Sciensano le code de test à 17 chiffres généré par l’application Coronalert ? https://www.corona-tracking.info/3380/?lang=fr Mon, 12 Oct 2020 22:10:04 +0000 https://www.corona-tracking.info/?p=3380 L’application de suivi des contacts Coronalert ne traite que des données anonymes. Lorsque les utilisateurs de l’appli entrent en contact étroit les uns avec les autres, des “charabias” sans contenu sont échangés entre leurs appareils mutuels, dont il est impossible de déduire l’identité de chacun ainsi que l’endroit où le contact a eu lieu. Si quelqu’un est infecté, il publie ses “charabias” des derniers jours sur un serveur central. Quiconque trouve également ces “charabias” dans la mémoire de son appareil sait qu’il a été en contact étroit avec une personne infectée, sans qu’il ne puisse toutefois déchiffrer qui est la personne infectée et où le contact a eu lieu. La personne concernée peut alors prendre les mesures nécessaires. Les “charabias” de la personne infectée sur le serveur central disparaissent automatiquement après 14 jours. Ainsi, lorsqu’il n’y a plus d’infections, le serveur central se vide et le système s’arrête.

Il faut bien sûr éviter que quelqu’un qui n’est pas infecté, publie à tort ses “charabias” des derniers jours sur le serveur central. Car alors d’autres utilisateurs de l’application Coronalert, avec lesquels la personne concernée a été en contact étroit, seront à tort incités à prendre des mesures telles que l’auto-isolement. Ainsi, un système a été conçu qui, sans violer l’anonymat, garantit que seules les personnes infectées peuvent publier leurs “charabias”.

Ce système fonctionne comme suit.

  1. Lorsque l’utilisateur de l’application Coronalert est testé, il demande à son application de générer un code de test anonyme de 17 chiffres. 17 chiffres pour garantir que le code est suffisamment protégé contre la falsification.
  2. Ce code de test est stocké d’une part dans l’application et d’autre part envoyé, en dehors de application Coronalert, à Sciensano avec le numéro d’identification de sécurité sociale (NISS) de la personne testée. L’envoi du code de test à Sciensano peut se faire de différentes façons
    • si un médecin généraliste prescrit un test, il peut transférer le code de test à Sciensano via un message électronique envoyé par son progiciel;
    • si un médecin généraliste prescrit un test, mais n’a pas soumis le code de test à Sciensano via son progiciel, ou si un autre médecin qu’un médecin généraliste prescrit un test, la personne à tester peut transférer le code de test à Sciensano elle-même; à cet effet, la personne à tester utilise le corona test prescription code (CTPC) ou le code d’activation qui lui a été envoyé par SMS; la personne à tester peut, de son choix, transmettre le code de test à Sciensano de 2 façons
  3. Si Sciensano reçoit un message électronique d’un médecin généraliste lui indiquant qu’il a prescrit un test, sans que ce message contienne un code de test, la personne à tester recevra un SMS supplémentaire l’invitant à communiquer le code de test via le formulaire web.
  4. Tous les laboratoires qui effectuent des tests COVID-19 envoient les résultats des tests avec le NISS du patient testé à Sciensano, conformément à la réglementation en vigueur.
  5. Dès que Sciensano reçoit un résultat de test, il vérifie s’il dispose d’un code de test pour le NISS concerné. Si tel est le cas, le code de test est stocké dans une base de données hautement temporaire avec le résultat du test, mais sans le NISS ou toute autre donnée d’identité de la personne testée. Le lien entre le code de test et le NISS est alors irrévocablement supprimé. Le même processus a également lieu si Sciensano reçoit un code de test avec un NISS dans le jour suivant la réception du résultat du test avec un NISS correspondant.
  6. L’application de l’utilisateur testé vérifie régulièrement dans cette base de données temporaire s’il peut retrouver le code de test, stocké dans sa mémoire, dans la base de données. Si tel est le cas, l’application télécharge le résultat de la base de données temporaire et le montre au patient. Une fois le résultat téléchargé, le code de test et le résultat du test sont supprimés dans la base de données temporaire.
  7. Seulement si le résultat du test d’une personne s’avère positif, la personne peut publier ses “charabias” sur le serveur central de Sciensano.

Il est donc crucial que toute personne qui utilise l’application Coronalert et qui subit un test, demande à son application de générer un code de test et s’assure que ce code est envoyé à Sciensano avant que Sciensano ne reçoive le résultat du test. Dans le cas contraire, la personne testée ne sera pas informée par l’application du résultat du test et, en cas de résultat positif, ne pourra pas publier ses “charabias”. Si l’application Coronalert elle-même enverrait le code de test généré avec le NISS à Sciensano, l’application ne fonctionnerait plus avec des données purement anonymes. Par conséquent, cela doit être fait en dehors de cette application.

Les médecins généralistes qui prescrivent un test doivent donc envoyer le code de test avec le NISS à Sciensano via le message électronique approprié. Les personnes qui sont testées sur la base d’un corona test prescription code (CTPC) ou d’un code d’activation et pour lesquelles le médecin généraliste n’a pas envoyé le code de test, doivent faire de même via l’application de réservation ou via le formulaire web.

Le petit effort nécessaire pour générer le code de test et l’envoyer à Sciensano est le prix à payer pour garder le fonctionnement de l’application complètement anonyme.

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